Dépendante du cours du marché de la banane, 1ère ressource économique de l’Ile, la Dominique doit faire face depuis 1980 à la rentabilité décroissante de ses exportations agricoles. Longtemps réticente au developpement touristique de l’Ile, la Dominique, pays pauvre courtisé des coopérations internationales, s’ouvre aujourd’hui à cette activité tout en misant sur la préservation de ses espaces Naturels.


Navires échoués dans la Baie de Portsmouth.

Branchée sur les réseaux cablés americains, la population subit un exode régulier à la recherche d’un hypothètique miracle économique (plus de 60% de la population est en situation de précarité). Les quelque 70.000 habitants restant ont pour point commun une langue officielle, l’anglais, et un véritable amour pour la terre qui les a vu naître. Au sein de cette population majoritairement noire africaine, diverses communautés se côtoient et notamment un nombre important de rastafari (10 à 20%), reconnaisables aisément à leur coupe de cheveux en longues nattes tressées appelées “dreadlocks”. On dénombre également quelques 3000 indiens Caraïbes, survivants des premiers habitants de l’île. Cette communauté en déclin a obtenu la concession d’un territoire situé au nord est de l’Ile, fait unique dans l’ensemble de la Caraïbe et seule possession octroyée dans l’histoire par la Reine d’Angleterre à une population indigène. Roseau et Portsmouth, les deux agglomérations principales sont situées sur la côte Caraïbe. Le reste de l’Ile est quant à lui extrêmement peu urbanisé et laissé en grande partie à son état de nature.

Le Groupe folklorique Caraïbe Garifuna

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